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#1 19-12-2005 23:22:59

reflet
Nain connu
Lieu: Île de France
Date d'inscription: 18-12-2005
Messages: 1

PROJET en chrysalide face à l'ultimatum de 2007

Mon initiative vient s'ajouter à beaucoup d'autres, mais je n'ai malheureusement pas encore trouvé une structure suffisemment nuancée, déterminée et indépendante pour que je puisse m'y sentir compris.
Je cherche à m'allier à des personnes extrèmement motivées par l'idée de construire un projet de démocratie participative. Je pense que c'est déjà très ambitieux, alors pour moi, la démocratie totalement directe n'est pas prête de voir le jour. J'ai l'impression que toutes ces personnes qui proposent actuellement une telle voie ne réalisent pas l'incivisme actuel, lorsqu'elles parlent de passer directement à un tel système. Il me semble que l'étape primordiale consiste en une estimation de la volonté moyenne d'investissement dans la vie politique, et j'ai l'impression ce que veut la majorité, c'est peser sur les grandes orientations, pas gérer le quotidien. Je suis totalement d'accord sur le fait que l'importance de l'abstention est liée à l'impression que l'ordre des choses est immuable, mais de là à penser que tout le monde fera son petit vote tout les matins après avoir passser la nuit sur la question... Plus la démocratie est directe plus  la part d'investissement de chacun est importante, plus aboutir à une co-décision va être difficile, moins  la rentabilité va être élevée, et comme personne ne sera plus responsable, comment changer rapidement? Peut-être peut-on aller vers plus de participation que je ne le pense, mais cela doit se faire de façon porgressive (toute les révolutions ont été récupérées). Je vais peut-être moins loin dans la pureté de la démocratie, mais ma voie n'est-elle pas plus viable? En tous les cas pour ceux qui se retrouve grossièrement dans ma position et qui sont prêt à s'investir énormément, former une équipe réduite et soudée, qui garde son sens, en ne flirtant ni avec les professionnels de la politique ni avec les grosses machines médiatiques qui tuent le sens plus qu'elles ne le diffusent, je vous laisse mon ébauche de projet en espérant construire de façon plus collective. J'ai essayé de faire un peu plus condensé et plus clairement orienté que le magnifique traité constitutionnel européen et un plus élaboré et cohérent que la liste habituelle des 10 mesures flash. A vous de jugez.





Préambule :

Je n’ai que la volonté de favoriser la mise en place d’un système reflétant au mieux un peuple, je n’ai pas d’ambition personnelle, c’est juste que je ne supporte plus de me cantonner au destructif. J’ai tendance à être plutôt critique (rien n’est intouchable), par contre je cherche au maximum à nuancer. Une volonté de dépasser le consensuel et le caricatural. Je pense que les maîtres mots qui manquent cruellement sont intégrité/honnêteté et charisme. Tous ces aspects font qu’il n’y a aucune chance que je fasse l’unanimité, beaucoup trop de gens fuient la remise en cause et préfèrent s’acharner sur des épouvantails ; reste à savoir si une dynamique conséquente peut naître.

En premier lieu, les deux raisons pour lesquelles j’ai opté pour le non au dernier référendum :
- Une constitution n’est pas censée comporter une orientation politique. De plus cette orientation politique me semble faire tant de compromis que l’on a pu dire qu’elle était sociale et libérale ; elle comportait des éléments qui me paraissent incompatibles. On surcharge un texte alors que l’on n’a pas d’autre ligne directrice que de plaire à tous les gouvernements,  chacun a droit à son petit su-sucre ; mais s’il n’y a pas d’entité, ce n’est pas gênant? Un contenant policé, mais vide de sens, de cohérence, de force…
- On entend que l’on ne peut être contre cette orientation politique puisqu’elle reprend les précédents traités notamment celui de Nice, seulement ce n’est pas parce ce traité ne sera pas remis en cause que c’est une raison pour le cautionner. On ne nous a pas consultés avant sa ratification, et c’est quand même depuis sa validation que « la gauche » a lancé sa grande ouverture de capital.

Ma conception de l’essence de l’humanité :
> deux flux moteurs : économie et culture
Constat : on avait jusqu’alors tendance à manipuler les « croyances » pour élaborer des assises financières, actuellement on a de plus en plus tendance à s’acheter une culture pour combler la froideur de l’économie qui a fini par devenir une croyance.
> trois amplificateurs sélectifs : les responsables politiques, les médias, et les grands groupes d’entreprises
Constat : ces derniers ayant tendance à soumettre les premiers, et à incorporer en leur sein les seconds.


I Le retour à la démocratie

La reconnaissance du vote blanc, qui signifie que l’on se sent concerné mais que l’on ne se retrouve pas dans ce qui est proposé (pas difficile, tellement d’uniformité dans la forme, dans l’absence de nuance…), que l’on ne cautionne pas la façon dont sont organisées les élections (vous avez dit démocratie, moi je vois surtout, l’alliance dans la médiocrité des politiques et des médias, face au tiers-état, l’un l’exploitant en lui faisant croire qu’il le protège, l’autre lui offrant une « vérité uniforme », lui faisant croire qu’il est compris pour mieux le formater. Evidemment aucun politique officiel, ne sera assez fou pour soutenir un acte qui enlèvera une part de représentativité à toute la caste politique, lui compris (surtout lui).
Les signatures des maires, nécessaires à une candidature, étaient là afin d’avoir plus de consistance dans les propositions. Ce qui à la base paraît plutôt sensé, si n’importe quel rigolo se présente et fait parler de lui, c’est l’anarchie, mais quand on voit le charisme et  la profondeur de l’engagement de nos professionnel de la politique…
Mise en place de référendums annuels, afin de déterminer la ligne politique, les responsables nationaux feront de multiples propositions pour les différents points de préoccupations : ils formuleront des propositions qui n’ont pas leur préférence, des propositions qui leur paraissent potentiellement efficaces mais incompatibles avec des orientations précédemment choisies, enfin des propositions qui ont leur préférence, finies les solutions uniques de « la dernière chance ». Il s’agira ensuite pour chacun de s’investir, de s’informer, bref d’être responsables puisque c’est cela la démocratie (si c’est une démocratie qui ne se veut pas une anarchie).
Une fois que les lignes directrices sont fixées il faut que les personnes tenant entre leurs mains le pouvoir politique puissent suivre jusqu’au bout ces grandes lignes, et pour cela, ces mêmes personnes doivent se voir attribuer parallèlement un pouvoir économique national > voir paragraphe III.


II L’électrochoc sur la masse média > politique et culture

Face à l’incohérence, l’irresponsabilité, l’aspect non informatif et artificiel, l’absence de profonde remise en question, et l’uniformité de la masse média, il s’avère pour moi nécessaire que la direction de l’état soutienne l’instauration d’une équipe de sûreté de l’information qui puisse juger notamment de la faisabilité des différentes solutions proposées pour chaque thème lors du référendum annuel. Je suis pour l’indépendance des pouvoirs, mais je ne vois pas d’autre solution pour une critique constructive. Cette équipe constituée plutôt d’économistes  et de géopoliticiens que de présentateurs aura la totale liberté d’apparition sur autant de média qu’elle le souhaite, à tout moment, elle sera chargée d’évaluer le réalisme de chaque proposition, la cohérence de la politique économique, et pour les référendum, elle ne prendra pas de position tranchée pour une seule proposition, elle exposera les conséquences que pourraient avoir chaque solution, n’écartera uniquement que les propositions techniquement non viables, pourra suggérer d’autres voies pour chaque question. Ce sera avant tout une aide technique indépendante et « neutre » (comme peut l’être le conseil constitutionnel), chargée de donner les éléments techniques permettant au citoyen de répondre aux questionnaires à choix multiple de façon à répondre au mieux à ses aspirations.
Parallèlement les émissions d’économie, de géopolitique, de sociologie et de droit, des débats entre le gouvernement et l’équipe de sûreté de l’information, feront leur apparition sur les médias publics généralistes. La publicité sera bannie de ces mêmes média et fera place à des dossiers techniques pointus sur les différents produits de consommations qui seront réalisés par des associations de consommateurs (dossiers d’ordre technique pour les équipements et d’ordre sanitaire pour l’alimentation et autre produits usuels). Il y aura uniquement une promotion de mouvements artistiques, d’évènements culturels, de chaînes associatives, enfin que des organisme à but non lucratif, et la promotion de chacun de ces organismes aura une intensité inversement proportionnelle à la célébrité médiatique globale, et ce afin de rétablir une diversité culturelle. L’émission sur la bande hertzienne et autre TNT, sera grandement facilitée pour tout projet sérieux, mais non moins décalé,  de création d’une chaîne associative. Celle-ci pourra être subventionnée, voire même financée par l’état mais les acteurs de ce projet resteront des bénévoles. La sélection se fera en fonction de l’apport en terme de concept, de nuances dans les propos tenus, la volonté de diffuser de l’information, de l’art dont la propagation n’est encore qu’ultra confidentielle.   


III La compréhension de l’économie pour s’en détacher

La force économique n’est pas une fin en soit, mais un moyen de développement : une évidence en voie de disparition. La maîtrise de l’économie est incontestablement l’arme absolue, pour toute société occidentale rationnelle. Pour qu’un gouvernement ait un poids politique conséquent il faut qu’il possède cette maîtrise :
- Sur le plan national : pour que la force économique « globale » revienne à l’état, la taille des groupes d’entreprises doit être limitée. Il n’est en aucun cas question d’une utopie communiste, l’ambition qui passe notamment par la propriété, la rentabilité, est nécessaire au fonctionnement d’une société de libertés. Il s’agit d’éviter qu’une dizaine de PDG puissent contrôler le pays. Parallèlement, dans un système référendaire, visant à responsabiliser l’ensemble des citoyens, la cohérence est de mise, aussi que peut-on espérer dans une spéculation d’actionnaire amateur dont on ne connaît plus les aboutissants ?, aboutissants qui peuvent comprendre notre propre licenciement. Cette notion de cohérence, d’intégrité a-t-elle une chance face au pseudo concret qu’est l’argent. En ce qui concerne la vague de délocalisation, la recherche scientifique et technique doit devenir la priorité suprême, on ne peut suivre la Chine en terme de coûts de main d’œuvre, seule la haute technologie peut nous empêcher d’être réduit à un pays en voie de sous développement, comme l’a été la Russie. Tout salarié étranger d’une entreprise française devra être rémunéré au minimum à un SMIG local, ce qui réduira l’intérêt des délocalisations et contribuera à l’élévation mondiale du niveau de vie.
- Sur le plan international : pour avoir une force à l’extérieur, l’Etat doit être l’intermédiaire lors d’échanges  de  produits « usuels » entre les diverses corporations de producteurs et les différents pays, ce qui permettra plus d’échanges de pays à pays et d’avoir ainsi la possibilité d’instaurer une notion de politique nationale dans le commerce, et d’établir des liens forts avec d’autres gouvernements dont l’idéal se rapproche de celui de notre gouvernement. Une charte de comportement social et environnemental sera établie, et toute entreprise ne s’y conformant pas alors qu’elle en a les moyens ne pourra importer ses produits sur notre territoire. En dehors de quelques grands groupes, cela est très difficile à contrôler, c’est pourquoi il faut des partenariats privilégiés avec des pays ayant mis en place une charte similaire et la faisant respecter sur leur territoire.


IV La culture : de l’illusion et l’endormissement à la force de relativisation et de construction

Le terme art est aujourd’hui complètement galvaudé, on voit surtout un commerce exploitant jusqu’au bout des catégories complètement étriquées, avec un fond tantôt consensuel, tantôt rebelle ultra formaté. Il va sans dire que la tendance chez les diffuseur est plutôt de ne déplaire à personne, que de promouvoir la créativité (comme pour la politique). Face à cela, en dehors du remaniement de la masse média proposé précédemment, des espaces multi art, permettant d’exposer des toiles ou des sculptures, de projeter des films, de monter des concerts ou des pièces de théâtre…,  doivent être construits et gérés par des associations ou mouvements artistiques. Lors de la fête de la musique, aucune autorisation d’occupation d’un lieu public ne sera accordée pour de concerts géants réunissant des « célébrités », afin de ne mobiliser les fonds publics (sécurité, média, emplacements) que pour la découverte d’artistes indépendants dont la diffusion est encore confidentielle.
Comme expliqué précédemment, le gouvernement promouvra les émissions d’ordre économique et géopolitique. Des émissions traitant de recherche et de droit seront également  diffusées régulièrement.
Sur le chapitre de l’éducation : les enseignement réalisés par des professionnels se verront multipliés, ces professionnels devront être d’origines diverses à l’intérieur de chaque filière, et devront collaborer même avec des personnes provenant de la concurrence. La sectorisation de la scolarité disparaîtra et chaque ville importante se spécialisera dans un registre de formation, de façon à optimiser les moyens en terme de matériels spécifiques, à rassembler les spécialistes, à donner un avant goût de l’ensemble du secteur d’activité, permettant de se spécialiser de façon plus poussée en possédant les données nécessaires.
Le gouvernement favorisera la disparition progressive des grandes surfaces généralistes  inhumaines détruisant peu à peu la qualité et le goût sous toutes ses formes. En aucun cas une entreprise ou un groupe  d’entreprise assurant une activité de distribution, ne pourra distribuer des produits fabriqués en interne ou dans une de ses filiales.
La valeur de la légion d’honneur devra être revue, afin de respecter le sacrifice de certains de nos ancêtres, et pour cela, plusieurs de ces médailles devront être restituées.


V Pas de système idéal, à la limite un renouvellement idéal

Pour que l’Etat fonctionne il faut des outils forts et clairs, aussi au niveau du financement ne seront maintenus que l’impôt sur le revenu qui est encore le plus juste et ne comportera qu’un seul prélèvement, finis les lignes CSG et autres…, et l’impôt sur la fortune, qui comprendra une surtaxe si l’essentiel de la fortune est sous forme d’argent ou d’actions de façon à inciter à l’achat. La TVA sera supprimée. A noter qu’à titre de symbole, les plus grandes fortunes ne seront pas acceptées sur notre sol.
Le citoyen n’aura plus à réaliser toute une suite de démarches pour la moindre demande ou mise en règle, il s’adressera à un unique service chargé de collecter les requêtes de tous, le reste sera géré en interne. En cas de blocage d’un dossier ce  service informera un inspecteur d’Etat chargé du bon déroulement des démarches, lequel déterminera les causes et prendra les mesures adéquates et informera régulièrement la direction des services administratifs des disfonctionnements récurrents.
La justice devra devenir abordable, car il ne sert à rien d’élaborer des lois si la majorité d’entre-nous ne peux faire valoir tous ses droits. L’application des décisions de justice ne sera plus payante (frais d’huissiers notamment), un service de conseil juridique gratuit sera mis en place de façon généralisée. De même, les frais d’avocat de la partie plaignante seront avancés par l’Etat, quitte à être remboursés par le plaignant en cas d’abus caractérisé.
Afin que le système fonctionne aux mieux, la motivation, le sens du dévouement à la tâche, au public… conditionnera de façon beaucoup plus importante l’entrée dans la fonction publique. Un service de testeurs de service public verra le jour.
Un manque de motivation caractérisé doublé d’une attitude « irrespectueuse » engendrera, après vérification filmée, des sanctions pouvant aller d’une suspension provisoire à la révocation. En cas d’abus de pouvoir que ce soit au sein de l’Etat, d’une région, d’un département, ou d’une municipalité, tout citoyen pourra preuve à l’appui recourir aux services des inspecteurs et commissaires d’Etat qui rendront des comptes directement au gouvernement.
Dès le départ il faut se soucier de l’avenir d’un tel système et organiser le renouvellement de son fonctionnement avant même d’être confronté à des blocages, c’est pour cela que sera instauré le service d’anticipation qui extrapolera les tendances émergentes de notre société, car un système fixe ne saurait être en phase avec un peuple vivant. 


Sens de la gestation :

Redorer l’économie car cela est nécessaire pour entreprendre, mais parallèlement réduire l’importance de l’argent en donnant des raisons, à chacun, de s’investir personnellement, de croire profondément à d’autres valeurs. Et puis surtout que chacun soit beaucoup plus responsable de notre évolution.

Remarques : - Les cinq notions abordées, à travers les différents paragraphes  de ce projet, ne sont pas isolables, mais sont en interaction, on ne peut changer profondément un aspect de notre fonctionnement sociétale de façon isolée, alors qu’à priori très peu de modifications n’ont pas d’effet en cascade.
- Je me suis penché avant tout sur les aspects auxquels une participation constructive et les capacités de mise en œuvre des orientations me paraissent subordonnées, cependant d’autres sujets plus ou moins éloignés sont évoqués à titre d’exemple de propositions qui pourraient figurer en tant que mesures préconisées par le gouvernement lors des référendums annuels. Car si le but premier est d’instaurer est de refonder une démocratie citoyenne et civique, il me paraît nécessaire de citer quelques idées fortes allant au-delà, car après l’instauration d’un tel mécanisme d’évolution, le gouvernement, bien que n’ayant pas le monopôle en la matière sera amené à proposer différentes solutions pour chaque préoccupation.
- Si je n’ai pas parlé d’Europe dans les propositions que j’ai émises, c’est que je pense que l’on doit d’abord ce positionner et prendre de la force, ce que l’union avec les pays nous entourant ne nous promet pas actuellement. Pour moi, l’Europe était déjà trop hétérogène avant l’élargissement, je pense plutôt à un rapprochement sélectif : avec les pays « modernes » sur le plan économique et social (comme la Suède), les pays qui auront un objectif de « qualité » de vie proche du notre et qui sont près à faire des compromis relatifs, enfin je souhaiterais un lien particulier avec des pays ayant une volonté politique socialement forte, comme le Brésil, et ce bien que la réussite de Lula semble inégale. Si l’on prend le cas de la sauvegarde de l’agriculture, l’Etat doit favoriser l’organisation de coopératives qui permettront de court-circuiter les grandes surfaces avec des produits moins chers, une marge plus importante pour les producteurs et un meilleur suivi de la qualité. Ces coopératives augmenteront le poids des agriculteurs, limiteront l’importance des subventions, faciliteront l’intervention de l’Etat dans le cadre du commerce extérieur, donneront un aspect plus humain, et renforceront le terroir. A noter que les surplus de production ne pouvant être vendus sans engranger une perte de subvention (tant qu’elles existent) ne seront plus détruits mais acheminés par l’Etat jusqu’aux populations souffrant de famine ou à des organisations d’aide humanitaire.


Peut-on être militant sans être caricatural?

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