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#1 29-06-2004 13:53:46

jean dornac
Grand guerrier
Lieu: Burdignes
Date d'inscription: 24-05-2004
Messages: 219
Site web

Education citoyenne et éducation scolaire

Préciser les différences entre les deux concepts et la nécessité de la première dans une société marchande libérale


Créer, c'est résister ! Résister, c'est créer !
(devise des résistants)

J. Dornac

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#2 19-11-2004 19:06:06

Manu Causse
Nain connu
Lieu: Lozère
Date d'inscription: 27-05-2004
Messages: 8

Re: Education citoyenne et éducation scolaire

Salut vous tous...

Je sors d'une longue léthargie internautique (faut dire que je regarde plus la télé non plus, et que je suis informé de la marche du monde par radio et voie de presse interposée), désolé donc pour les absences de nouvelles.

Tout ça pour vous apporter mon témoignage au sujet de l'éducation citoyenne et de l'éducation scolaire.

D'abord, si vous le permettez (en tout cas moi, je me le permets), j'aimerais recenter le débat sur la différence entre l'éducation qu'on peut appeler populaire et l'éducation scolaire.

Voilà voilà, je vais donc commencer par parler de moi (pas spécialement parce que je me trouve beau, intelligent, etc etc, (ni le contraire d'ailleurs) mais plus, pour que chers lecteurs, vous sachiez qui vous parle et comment est née la réflexion dont je vais vous faire part et dont nous pourrons discuter ensemble, si le coeur vous en dit).

Je suis titulaire d'une maîtrise en environnement... filière classique très théorique, et de certains jeunes qui ont la chance d'être soit doués pour les études, soit, le plus fréquemment dotés de parents qui ont su leur inculquer un modèle de pensée basé sur le savoir. (il faut dire, que moi, fils de paysan, plus je montais dans les hautes sphères du savoir ( hauteur toute relative, je le concède, néammoins considérable), plus je constatais que mes collègues étaient fils de profs, de toubibs, en brefs de parents ayant des professions libérales...

des gesn que je trouvais somme toute moyennement intéréssants, peut -être l'effet cul terreux, qui faisait que je préférais me cantonner avec les personnes ayant, soit une expérience certaine de la vie, soit avec des fils pas spécialement de riches.

1 an de chomage et de divers emplois précaires ont radicalement changé mon point de vue et de façon, oh combien salutaire...

Aujourdh'ui, je travaille dans la restauration de monuments historique comme manoeuvre, et j'envisage dans à peu près deux ans de passer une formation de tailleur de pierre.
Travail autrement plus rude que celui auquel j'ai été formé, mais tellement plus enrichissant;

Là, je rencontre des gens qui ont des valeurs simples mais solides: le respect du travail, de l'autre ainsi qu'un esprit terre à terre, qui je trouve fait cruellement défaut dans notre société, et souvent, je me demande pourquoi tant de jeunes veuelent faire informaticiens, ingénieurs, etc etc, alors que la vie simple, comme c'est bon...

Hmmm une bonne soupe maison achetée avec le SMIC, après avoir démonté des échaffaudages à 10 mètres de haut.

Tout ça donc non pas pour faire l'éloge des bas salaires (c'est vrai que si j'étais payé plus, ce serait pas plus mal), mais plus pour mettre en relief deux sociétés vivant côte à côte et dont les échanges sont très peu fréquents:

- La première, celle qu'on voit, qu'on montre, qu'on entend, qu'on appelle France d'en haut, basée sur une reproduction élititste par une transmission du savoir favorisant toujours lres couches les plus hautes sous des couverts de démocratie.

- La deuxième, basée sur l'expérience de la vie, la vraie.

L'éducation scolaire, telle que je la conçois (et telle qu'elle est créée en France d'ailleurs) correspond au premier modèle que j'ai énoncé.

à mon sens, l'éducation populaire, devrait permettre l'épanouissement de chacun, afin non pas d'exclure une partie de la population, mais de créer des ponts entre ces 2 réalités.

Ce que je veux dire par là, c'est qu'il ne faut pas faire des classes plus professionnelles pour la partie pauvre de la population, alors que les riches auront droit à l'université mais promouvoir un système scolaire non élitiste, plus en rapport concret avec la réalité, sans toutefois omettre l'enseignement fondamental...

A ce sujet, la pédagogie fresnet me semble être un bonne alternative...

Mais avant tout, il me semble qu'il faudrait changer les schémas sociaux qui nous font croire que quelqun qui est intellectuel est socialement supérieur à un manuel...

Donc d'abord supprimer les écarts consédérables entre salaires et là, comme par magie l'éducation scolaire deviendra plus populaire avec l'accès à la culture des classes les plus basses, alors que la partie la plus haute de la population apprendra à considérer ce qu'il y a de noble dans les métiers manuels jusqu'alors réservés aux classes les plus basses.

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#3 20-11-2004 08:36:06

Gazo
Habitué
Lieu: Limousin
Date d'inscription: 26-09-2004
Messages: 93

Re: Education citoyenne et éducation scolaire


Aujourdh'ui, je travaille dans la restauration de monuments historique comme manoeuvre, et j'envisage dans à peu près deux ans de passer une formation de tailleur de pierre.

Nore ami Manu, nous fait le récit mouvementé de nos institutions "éducatrices". Comprenons par ce pamphlet, la branche du soi-disant apprentissage défendue par la Chambre de métiers, et les AFPA. Mais en réalité que se passe t-il dans ces milieux oscillants entre l'éducation et le travail?

Pas grand chose! Beaucoup de patrons ne veulent pas perdre de temps à former un apprenti! Quand ils en forment, après avoir fini les deux ou trois ans d'apprentissage, le jeune se trouve hors de l'entreprise, et un petit nouveau prend sa place. Et le pire n'est pas du côté de ces patrons indélicats, mais bien de la jeunesse (la nouvelle, celle du tout virtuel sans effort) qui hésite à faire un travail manuel, car réputé sale et fatigant. C'est vrai que taper sur un clavier ou nouer sa cravate de cadre, c'est moins pénible que de tailler du granit.

Le souci c'est que quand le cadre va acheter sa maison de campagne s'il veut refaire le fronton de sa cheminée, c'est au tailleur de pierre qu'il va s'adresser, pas à un bac + 5 en sociologie environnementale!

Que certains soient fiers d'avoir un fils toubib ou cadre sup à France Télécom, je le conçois, mais que l'on trouve dégradant d'avoir à dire mon fils et plombier, c'est oublier un peu vite que quand le robinet du costume cravate tombe en rideau, ce n'est pas son PDG qui va faire la réparation, mais bien un ancien apprenti qui aura fait un petit passage à la Chambre des Métiers! big_smile

Nous sommes toutes et tous complémentaires, c'est l'évidence! smile

Gazo


Les hommes font la guerre, les femmes pleurent des larmes noires, et les enfants n'ont pas tous le même sourire. Gazo

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#4 21-11-2004 23:02:22

jean dornac
Grand guerrier
Lieu: Burdignes
Date d'inscription: 24-05-2004
Messages: 219
Site web

Re: Education citoyenne et éducation scolaire

Un petit coucou amical à Manu ! J'ignorais ce changement professionnel ! Je trouve ça très bien, et je suis sincère.

Mon expérience personnelle est tout à fait inverse. Issu d'une famille proche de la pauvreté (père cheminot et mort alors que je n'avais pas 4 ans - mère secrétaire, mais pas de direction), peu doué pour les études, je me suis retrouvé en atelier d'une grosse usine, dans son service d'apprentissage. Rien à dire sur la qualité de l'apprentissage en question, c'était bien fait. Mais je ne me suis jamais retrouvé ni dans la mentalité ouvrière de cette époque (les années 60, dont 68 où je peux dire que j'ai joui...) ni dans le métier lui-même. Pourquoi, je l'ignore car personne dans ma famille n'était contre le travail manuel.

Ensuite, n'en pouvant plus, j'ai repris des études en cours du soir et en parallèle avec le travail. Environ 70 heures de travail par semaine (tout cumulé) sur cinq ans. J'ai fini avec une dépression et mon diplôme de dessinateur, un brevet professionnel...

Ayant quitté l'atelier pour les bureaux, je n'ai pas pour autant été plus heureux. Je n'étais toujours pas dans mon élément, mais j'ignorais quel était mon élément...

Tombé amoureux d'une fille qui habitait en France, mais juste à côté de Genève, j'ai travaillé 10 ans dans la cité de Calvin en tant que technicien en ventilation. J'ai plus brassé de l'air qu'autre chose, tant la mentalité de la boîte et le boulot étaient détestables. Et à la première crise venue, la bise du chômage m'emportait...

Fin de mes carrières solides ! Vint ensuite, la litanie des petits boulots : Vendeur de matériel médical dans le grand quart sud-ouest. Là, non seulement ça ne payait pas, mais de plus, n'ayant pas la mentalité du voleur, j'ai craqué au bout de deux ans. J'ai démissionné et me suis retrouvé avec ma famille au Restos du Coeur de Bordeaux ! Comme ils m'aimaient bien, que je les aimais bien, ils m'ont fait travailler un an en CES comme manoeuvre. Surprise, j'étais pas malheureux dans ce boulot ! Mais l'ambiance, pour la première fois en 25 ans de boîtes diverses était excellente. Il faut dire que nous étions tous des "gueules cassées", ce qui diminue le risque de se concurrencer...

Après cette expérience, physiquement épuisante (oui, j'ai une petite santé), dans une autre région, l'acutelle, pas très loin de Lyon, je me suis retrouvé "peseur de lait"... Pas terrible, surtout la paye proche du misérable, mais des horaires, le matin entre 5 et 6 h, pareil le soir. Hormis le sourire aimable des vaches (n'avez-vous jamais regardé le fond de l'oeil d'une vache ? Vous devriez, tant ça exprime d'innocence... si, si), je n'ai rien à retenir de cette lourde expérience.

Autre petit boulot, quelques mois seulement, le ramassage des pommes dans mon secteur. Chiant au possible (excusez le gros mot, mais faut connaître pour comprendre). Les heures tournent proportionnellement aussi lentement qu'il faut rapidement ramasser un maximum de fruits. Les proprios, gentils et tout et tout, nous autorisaient à manger quelques fruits, pas trop tout de même, peut-être pour nous venger de ces fruits... Problème, ces fruits étaient tellement traités que le soir, en plus d'un mal de dos abominable, s'ajoutait un mal au ventre tenace...

Il y a eu encore quelques autres expériences avant que mon opération cardiaque ne m'empêche d'en poursuivre une nouvelle...

Ce que je veux dire au travers de ce récit, en soi peu intéressant, c'est qu'en fin de compte, le travail intellectuel n'est pas supérieur au travail manuel et que le travail manuel n'est pas supérieur au travail intellectuel. Ca semble idiot de dire ça comme ça, mais je veux en venir à une constatation que tout le monde semble oublier aujourd'hui et dont les libéraux acharnés ne veulent surtout pas entendre parler :
- Un travail, qu'il soit manuel ou intellectuel, n'a de valeur  pour celui qui le fait que dans la mesure où ce travail lui permet d'être lui-même.  !!! :onfire:

Si on comprend ça, les notions de "supérieur" ou "d'inférieur" tombent d'elles-mêmes. C'est tout le drame d'aujourd'hui. On veut nous faire avaler qu'un travail n'a de sens que si on gagne beaucoup de sous. Un travail à de plus en plus de valeur en fonction de l'augmentation d'euros qu'il permet d'acquérir. Cette notion débile, tue le travail de façon irrémédiable ! :stupid:

Un travail, d'après moi, qui n'est pas aimé, même s'il rapporte une fortune à celui qui le subit, est inutile et nuisible, puisqu'au lieu de construire la personne, il la détruit à petit ou grand feu, selon le caractère de la victime. Et ce n'est pas le fric engrangé qui le consolera. Oh, quelques instants sans doute, mais que ces instants sont éphémères au regard du nombre atroce d'heures qui ne passent pas, et au regard de la déprime qui va s'installer.

J'étais un peu long, excusez-moi   :P


Créer, c'est résister ! Résister, c'est créer !
(devise des résistants)

J. Dornac

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#5 22-11-2004 10:02:24

Gazo
Habitué
Lieu: Limousin
Date d'inscription: 26-09-2004
Messages: 93

Re: Education citoyenne et éducation scolaire

Un petit coucou amical à Manu ! J'ignorais ce changement professionnel ! Je trouve ça très bien, et je suis sincère.

Mon expérience personnelle est tout à fait inverse. Issu d'une famille proche de la pauvreté (père cheminot et mort alors que je n'avais pas 4 ans - mère secrétaire, mais pas de direction), peu doué pour les études, je me suis retrouvé en atelier d'une grosse usine, dans son service d'apprentissage. Rien à dire sur la qualité de l'apprentissage en question, c'était bien fait. Mais je ne me suis jamais retrouvé ni dans la mentalité ouvrière de cette époque (les années 60, dont 68 où je peux dire que j'ai joui...) ni dans le métier lui-même. Pourquoi, je l'ignore car personne dans ma famille n'était contre le travail manuel.

Ensuite, n'en pouvant plus, j'ai repris des études en cours du soir et en parallèle avec le travail. Environ 70 heures de travail par semaine (tout cumulé) sur cinq ans. J'ai fini avec une dépression et mon diplôme de dessinateur, un brevet professionnel...

Ayant quitté l'atelier pour les bureaux, je n'ai pas pour autant été plus heureux. Je n'étais toujours pas dans mon élément, mais j'ignorais quel était mon élément...

Tombé amoureux d'une fille qui habitait en France, mais juste à côté de Genève, j'ai travaillé 10 ans dans la cité de Calvin en tant que technicien en ventilation. J'ai plus brassé de l'air qu'autre chose, tant la mentalité de la boîte et le boulot étaient détestables. Et à la première crise venue, la bise du chômage m'emportait...

Fin de mes carrières solides ! Vint ensuite, la litanie des petits boulots : Vendeur de matériel médical dans le grand quart sud-ouest. Là, non seulement ça ne payait pas, mais de plus, n'ayant pas la mentalité du voleur, j'ai craqué au bout de deux ans. J'ai démissionné et me suis retrouvé avec ma famille au Restos du Coeur de Bordeaux ! Comme ils m'aimaient bien, que je les aimais bien, ils m'ont fait travailler un an en CES comme manoeuvre. Surprise, j'étais pas malheureux dans ce boulot ! Mais l'ambiance, pour la première fois en 25 ans de boîtes diverses était excellente. Il faut dire que nous étions tous des "gueules cassées", ce qui diminue le risque de se concurrencer...

Après cette expérience, physiquement épuisante (oui, j'ai une petite santé), dans une autre région, l'acutelle, pas très loin de Lyon, je me suis retrouvé "peseur de lait"... Pas terrible, surtout la paye proche du misérable, mais des horaires, le matin entre 5 et 6 h, pareil le soir. Hormis le sourire aimable des vaches (n'avez-vous jamais regardé le fond de l'oeil d'une vache ? Vous devriez, tant ça exprime d'innocence... si, si), je n'ai rien à retenir de cette lourde expérience.

Autre petit boulot, quelques mois seulement, le ramassage des pommes dans mon secteur. Chiant au possible (excusez le gros mot, mais faut connaître pour comprendre). Les heures tournent proportionnellement aussi lentement qu'il faut rapidement ramasser un maximum de fruits. Les proprios, gentils et tout et tout, nous autorisaient à manger quelques fruits, pas trop tout de même, peut-être pour nous venger de ces fruits... Problème, ces fruits étaient tellement traités que le soir, en plus d'un mal de dos abominable, s'ajoutait un mal au ventre tenace...

Il y a eu encore quelques autres expériences avant que mon opération cardiaque ne m'empêche d'en poursuivre une nouvelle...

Ce que je veux dire au travers de ce récit, en soi peu intéressant, c'est qu'en fin de compte, le travail intellectuel n'est pas supérieur au travail manuel et que le travail manuel n'est pas supérieur au travail intellectuel. Ca semble idiot de dire ça comme ça, mais je veux en venir à une constatation que tout le monde semble oublier aujourd'hui et dont les libéraux acharnés ne veulent surtout pas entendre parler :
- Un travail, qu'il soit manuel ou intellectuel, n'a de valeur  pour celui qui le fait que dans la mesure où ce travail lui permet d'être lui-même.  !!! :onfire:

Si on comprend ça, les notions de "supérieur" ou "d'inférieur" tombent d'elles-mêmes. C'est tout le drame d'aujourd'hui. On veut nous faire avaler qu'un travail n'a de sens que si on gagne beaucoup de sous. Un travail à de plus en plus de valeur en fonction de l'augmentation d'euros qu'il permet d'acquérir. Cette notion débile, tue le travail de façon irrémédiable ! :stupid:

Un travail, d'après moi, qui n'est pas aimé, même s'il rapporte une fortune à celui qui le subit, est inutile et nuisible, puisqu'au lieu de construire la personne, il la détruit à petit ou grand feu, selon le caractère de la victime. Et ce n'est pas le fric engrangé qui le consolera. Oh, quelques instants sans doute, mais que ces instants sont éphémères au regard du nombre atroce d'heures qui ne passent pas, et au regard de la déprime qui va s'installer.J'étais un peu long, excusez-moi   :P

Ton histoire me fait penser à ce que nos "ingénieurs" en éducation nous concoctent depuis Jules-Ferry - Changements-Réformes-Changements-Réformes. et la sacro-sainte soi-disant orientation. Ma belle-fille voulait faire sage-femme, mais elle n'a pas pu le faire car elle n'avait pas la moyenne en je ne sais plus quelle matière. Est-ce réellement indispensable de rejeter une bonne volonté à cause d'une mauvaise moyenne au cours de la dernière année de "sélection"!  Est-ce qu'un ou une élève qui a la passion d'un métier, n'a pas la possibilité d'apprendre et de comprendre en travaillant dans l'entreprise ou dans le service?
Si bien sur, car si il ou elle est conscient que cette voie c'est SA voie, il fera fi des difficultés mercantiles et résoudra la faiblesse qui le pénalise.
Mais si on ne lui donne pas la possibilité de s'exprimer, il y a de grandes chances qu'il ou elle se retrouve sur le carreau des mals compris.

Il est vrai que dans cette profession, actuellement l'embauche est plutôt tendance main-d'oeuvre étrangère! C'est peut-être ça l'Europe. En tous cas ce n'est pas la mienne :mad:

Gazo :angry:


Les hommes font la guerre, les femmes pleurent des larmes noires, et les enfants n'ont pas tous le même sourire. Gazo

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